Qui a peint le tableau "David avec la tête de Goliath" ?

Ivan Ivanovitch Chichkine (1832-1898), parmi les choix, est un peintre et graveur russe. Après avoir passé son enfance dans les régions sauvages de l'Oural et de la Volga, il étudia à l'École de peinture, sculpture et architecture de Moscou pendant quatre ans, puis à l'Académie impériale des beaux-arts de Saint-Pétersbourg de 1856 à 1860, dont il sortit avec les plus grands honneurs et une médaille d'or. Cinq ans plus tard, il devint membre de cette Académie, puis professeur. Il était par ailleurs professeur à l'École supérieure des arts. Il est connu pour ses paysages frappants de réalisme et sa technique irréprochable. Sa peinture est fondée sur une étude analytique de la nature et il faisait des recherches approfondies sur tous ses sujets. Il est célèbre pour ses paysages, mais c'est aussi un excellent dessinateur et graveur. Source Wikipedia

Antonio Francisco Lisboa (1730/38-1814), plus connu sous le nom d'Aleijadinho (parmi les choix), né au Brésil à Ouro Preto (Or-noir), est un sculpteur, tailleur de pierre et architecte du Brésil colonial. Sa biographie reste enveloppée d'un voile de légendes et de controverses, rendant le travail de recherches très ardu et le transformant en une sorte de héros national.  Avec un style baroque et rococo, il est considéré par la critique brésilienne comme le plus grand représentant de l'art colonial au Brésil. Au-delà des frontières brésiliennes, pour certains chercheurs, il est le plus grand nom du baroque américain, méritant une place de choix dans l'histoire de l'art de l'Occident. Après 1777, l'artiste commence à montrer les signes d'une mystérieuse maladie dégénérative (lèpre ? syphilis ? scorbut ? polio ? ...) qui lui vaut le surnom d'«Aleijadinho», signifiant «le petit handicapé» ou «le petit estropié». Son corps se déforme progressivement, lui causant des douleurs continuelles. Il aurait perdu plusieurs doigts des mains et tous ceux des pieds, l'obligeant à marcher à genoux. Son visage est également touché, lui donnant une apparence grotesque. Pour cacher sa difformité, il porte des vêtements amples et de grands chapeaux, en travaillant la nuit en espace fermé. L'un des éléments les plus actifs dans la construction du «mythe Aleijadinho» concerne son originalité et son unicité dans l'art brésilien, transcendant son époque. Source Wikipedia

Michelangelo Merisi da Caravaggio, francisé Caravage ou le Caravage, est un peintre italien (1571-1610). Son œuvre puissante et novatrice révolutionne la peinture du XVIIe siècle par son caractère naturaliste, son réalisme parfois brutal et l'emploi appuyé de la technique du clair-obscur allant jusqu'au ténébrisme. Il connaît la célébrité de son vivant et influence nombre de grands peintres après lui, comme en témoigne l'apparition du caravagisme. Source Wikipedia

Ivan Konstantinovitch Aïvazovski (1817-1900), parmi les choix, peintre russe d'origine arménienne, est un des maîtres de la peinture de marine qui a marqué l'histoire et les périodes romantiques et réalistes de l'art russe. Son œuvre, intimement liée à la mer, traduit le mouvement des flots, la transparence de l'eau tantôt calme, tumultueuse et furieuse, mêlant ses vagues au ciel orageux. Depuis 2018, l’aéroport international de Simferopol (République de Crimée) porte son nom. Originaire d'une famille pauvre de marchands arméniens émigrée de Pologne au début du XIXe siècle, Aïvazovski est né à Théodosie. Le nom de famille de ses parents était Aïvazian et quelques-unes de ses peintures sont signées en alphabet arménien Hovhannes Aïvazian. Ses peintures se distinguent par la recherche de la lumière et ses toiles s'emplissent de rêverie et d'émotion. Il peignait de mémoire en retranscrivant ses sensations, sans études préalables, et en se guidant sur une esquisse au crayon. Source Wikipedia

L'inspiration et le style d'Ivan Aïvazovski, parmi les choix, l'inscrivent au cœur du romantisme du XIXe siècle, en atteignant son apogée avec La Neuvième Vague (1850), Clair de lune (1849) et Tempête (1854). Par la suite, une tendance au réalisme apparaît, sans effacer la facette romantique. Son œuvre la plus accomplie est alors La Mer Noire (1881) qui saisit la nature même de la mer, éternelle, toujours en mouvement. L'arc-en-ciel (1873), Naufrage (1876), La Vague (1889), et La Maria prise dans la tempête (1892) sont également des œuvres majeures. Parmi ses 6 000 œuvres, dont la moitié de marines, certaines sont des chefs-d'œuvre mais d'autres sont d'une qualité moindre. Les marines étant son sujet d'excellence, il n'excellait ni dans les paysages ni dans la représentation du visage humain. Quand, en 1841, Aïvazovski peignait le tohu-bohu des eaux originelles à l'instant de la Création (ou Le Chaos), Baudelaire, lui aussi romantique contempteur du rationalisme laïcisant, écrivait en écho : « Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. » Proche de Pouchkine et Gogol, et admiré par Delacroix et Turner, il eut en son temps une renommée considérable. Une exposition intitulée Aïvazovsky (1817-1900), la poésie de la mer lui a été consacrée de 2007 à 2008 au Musée national de la Marine à Paris. Source Wikipedia

Le Caravage est toujours très impressionnant. Il n'y a qu'à admirer sa fameuse tête de Méduse peinte sur bouclier !