Quel est un élément pyramidal...

Martine

J'y suis allée par association : pyramide - pyramidion.

Angel

j'apprends vraiment beaucoup,oh top ce jeu

Kissophile

Martine, Tas pas beaucoup forcé sur ce coup là

Negan

Avec un jeu aussi super on devrait tous avoir le Bac 😎

faufau

On en apprend tout les jours avec cette application

Courgette en salopette

Dans le génie civil, un merlon (parmi les choix) est un ouvrage consistant en une levée de terre destinée à : - servir d'écran phonique et/ou visuel, - arrêter ou dévier les pierres et blocs rocheux provenant des falaises et versants. On parle alors de merlon pare-blocs. Les merlons pare-blocs sont des ouvrages massifs visant à arrêter les pierres et blocs rocheux avant atteinte des routes, bâtiments... Ces ouvrages relèvent de la stratégie de protection passive, au même titre que les galeries ou les filets. Le plus souvent, les merlons sont situés au pied des versants d'où proviennent les éléments rocheux. Généralement, une fosse leur est associée pour contenir les blocs interceptés. Leur capacité à arrêter les éléments rocheux dépend de leur hauteur et de l’inclinaison de leur talus côté versant. Une spécificité française, datant du milieu des années 1980, est l'utilisation de pneumatiques recyclés pour raidir ce talus, suivant le procédé Pneusol ou Pneutex. De tels ouvrages sont érigés depuis les années 1950 et il en existe plus de 300 en France. Les merlons peuvent présenter des hauteurs et longueurs respectivement supérieures à 10 et 500 m. Source Wikipedia

TR

J’ai fait au pif 🤣

elodie

intéressant tout ça

Courgette en salopette

Quelques recherches concernant la rampe, parmi les propositions : En 2018, une nouvelle découverte vient raviver le débat sur la construction des pyramides d’Égypte. L’équipe franco-anglaise de la mission archéologique d’Hatnoub, un site situé à environ 300 km au sud du Caire, a mis au jour une rampe d’une trentaine de mètres de long (environ 100m dans son état d’origine) pour trois mètres de large qui aurait servi à acheminer les blocs de granit à bon port. Cette rampe est bordée de deux escaliers et de trous de poteaux (creusés dans l’escalier) dont le diamètre, entre 70 et 80 cm de diamètre, est considérable. Elle aurait été creusée à même la roche, sans retaille postérieure. Jusqu’alors, les seules rampes découvertes en Égypte dataient de périodes bien postérieures à l’Ancien Empire, époque à laquelle furent édifiées les grandes pyramides du plateau de Gîza. De cette époque n’ont été retrouvés que de rares vestiges (par exemple à Meïdoum, au sud du Caire). Cela rend la découverte de la mission d’Hatnoub véritablement remarquable. La pente de cette rampe, mesurée à 20 %, ce qui est incroyablement incliné, remet en question certains présupposés quant aux différentes théories de construction des pyramides. Source Futura Sciences

Courgette en salopette

Une ziggurat (ou ziggourat), parmi les propositions, est un édifice religieux mésopotamien constitué de plusieurs terrasses supportant probablement un temple construit à son sommet. Le terme vient de l'akkadien ziqqurratu(m), parfois abrégé ziqratu, siqurratu ou sequrattu, dérivé du verbe zaqāru, «élever», «construire en hauteur». On peut donc le traduire par «la très haute». Il s'agit du monument le plus spectaculaire de la civilisation mésopotamienne, dont le souvenir a survécu bien après sa disparition grâce au récit biblique de la tour de Babel, inspiré par la ziggurat de Babylone. Certaines ziggurats (avant tout celle de Babylone) sont mentionnées par des auteurs grecs (Hérodote et Ctésias). Si leur aspect général est maintenant assez bien connu, il existe toujours des points d'ombre quant à leur signification et à leur fonction en l'absence de texte explicite à ce sujet. Comme pour les palais, les grands temples et les murailles des cités, les constructions des ziggurats sont décrites dans des inscriptions de construction, qui mettent en avant leur aspect monumental et l'importance symbolique que leur édification revêtait pour les rois et leur prestige personnel. Le terme sumérien désignant ces édifices, peut se traduire par «Maison d'admiration». La métaphore de la montagne est cependant courante pour les temples mésopotamiens en général. Certaines ziggurats ou parties de ziggurat recevaient parfois un culte. Source Wikipedia

Aya

Je connais pas ses mots